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*les*yeux* noirs*
22 avril 2016

Nouveau spectacle

Nouveau spectacle donc nouveaux morceaux et nouvelles chansons

peut-être commencés aux USA, un petit aperçu à Seissans puis un peaufinage au festival d'Avignon


Sheyn vi di levone = Belle comme la lune

les paroles ici

http://yidlid.org/chansons/levone/

 

Brontshele

un jeune homme vient frapper à la porte de son amour la nuit

elle ne veux pas lui ouvrir par peur de son frère, son père , sa mère....

il insiste et fini par partir pour ne plus revenir

ça c'est la version soft 

derrière se cache la version sortie du ghettho

"venue du ghetto de Łódź, une chanson dont les premières strophes sont une comptine d'amour, rêveuse, mais dont les trois dernières offrent une vue dramatique sur la vie dans le ghetto assiégé, affamé et désespéré."

la suite  ici

http://canzones.over-blog.com/article-qui-frappe-70461727.html

 

Kinder Yorn

superbe chanson pleine de nostalgie 

"Années d’enfances,douces années d’enfance,

Pour toujours vous demeurez en ma mémoire.

En songeant à votre temps

Me viennent regret et douleur,

Oï , comme vite je suis devenu vieux !..."

 

http://www.diasporim-zinger.com/partitions_sans_flash/kinder_yorn_texte.pdf

 

 

 

Sirba Hora   morceau musical 

 

 

pour la version "yeux noirs" il faut aller au concert ou attendre un hypothétique disque  (non prévu ) triste (2)

 

petits extraits 

 

ça commence par "Belle comme la lune "

puis "Sirba Hora "

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13 avril 2016

pqinyapqlyndlv ; éric et le cinéma : Otez-moi d'un doute

Un Long-métrage de Carine Tardieu ' la même que du vent dans mes mollets )

et musique d'éric 
A 45 ans, Erwan découvre que le vieux loup de mer qui l’a élevé n’est pas son père. Après enquête, il retrouve son géniteur, un subtil octogénaire, et tombe sous son charme, ainsi que sous celui de l’impétueuse Anna, croisée en route, dont il ignore qu’elle est sa demi-sœur…

Année de production : 2016

Sortie prévue en septembre 2017

12 avril 2016

pqinyapqlyndlv :éric et le théâtre

LE TRAIN

de Georges Simenon, adapté par Pierre Assouline

- STS/Ocean/Corbis
FRANCE CULTURE
VENDREDI 15 AVRIL 2016 19H00MAISON DE LA RADIO - STUDIO 104
RÉSERVEZ
de 5 à 15€
Les fictions de France Culture vous invitent à découvrir une histoire de Simenon. Comédiens et musiciens se réunissent sur scène pour offrir au public un véritable spectacle radiophonique !

La guerre en 1940. Celle des civils. Leur exode vu d’un quai de gare. Les trains, les troupes, les réfugiés sont les acteurs de cette catastrophe de masse. Tout un peuple pris de vagabondage dans la panique de l’avancée allemande. Et parmi eux, dans la promiscuité d'un wagon bondé, un Français banal et une mystérieuse étrangère font connaissance et s’étourdissent dans une liaison sans lendemain.
Ces moments-là, Georges Simenon les a vécus aux premières loges. Pour une fois, il fut un acteur de l’Histoire en marche avant d’en faire une histoire, lorsqu’il fut chargé de diriger avec les moyens du bord le centre d’accueil aux réfugiés belges à la gare de La Rochelle.
 
La débâcle provoqua, de son propre aveu, une sorte de soulagement en lui. Comme s’il se trouvait débarrassé d’une vie qui lui pesait, qui n’avait plus de goût. La dure réalité des événements lui faisaient prendre conscience de ses propres réalités. Comme le personnage de son roman Le Train, Marcel Féron, marchand d’appareils de radio à Fumay, et comme beaucoup de Français, il percevait le monde extérieur avec d’autant plus d’acuité que les instants étaient tragiques à titre personnel. La catastrophe de masse qui s’abattait sur la France jetait une lumière crue sur son drame intime lorsque son regard croisa celui de la jeune juive tchèque Anna Kupfer. Un processus significatif de la fameuse « atmosphère Simenon »
 
Le Train
 est paru en 1961, quelques mois après avoir été écrit, soit plus de vingt ans après les événements. Le récit de « sa » débâcle, qu’il avait provisoirement intitulé « La Gare », l’avait longtemps hanté avant de le rattraper : « une matière terrible et magnifique qui me fait un peu peur… un jour ou l’autre, je céderais à une sorte de besoin » confiait-il dès l’été 1940 à son éditeur Gaston Gallimard. En général, Simenon n’avait besoin que de deux ou trois ans de décantation avant de se laisser rattraper par une émotion, un souvenir, un détail susceptibles de lancer un nouveau roman. A ce titre aussi, Le Train est une exception dans son œuvre abondante qui ne contient que deux romans dont la seconde guerre mondiale est la toile de fond, l’autre étant Le Clan des Ostendais. Mais si Le Train nous emporte plus loin et plus durablement, c’est que la guerre y est vécue comme une affaire personnelle entre l’homme et son destin.


Le Train, de Georges Simenon est publié aux éditions Omnibus et au Livre de Poche.

Adaptation : Pierre Assouline 
Réalisation : Blandine Masson
Musique originale : Eric Slabiak

Avec les comédiens :
Bruno Raffaelli, Françoise Gillard, Guillaume Gallienne, Adeline d’Hermy, Pierre Hancisse, Rebecca Marder.

Les élèves-comédiens de la Comédie-Française :
Pénélope Avril, Vanessa Bile-Audouard
et les voix de Laurent Natrella de la Comédie-Française et Jeannette Veyssière.
 
Et les musiciens :
Caroline Sageman piano 
Claire Luquiens flûte
Amanda Favier violon
Eric Slabiak violon
Marie Kuchinski alto
Sébastien Giniaux violoncelle
Nathanaël Malnoury contrebasse

Tarif unique 15 € / 5 € pour les moins de 28 ans

http://www.maisondelaradio.fr/evenement/concert-fiction/le-train/de-georges-simenon-adapte-par-pierre-assouline

 

à écouter sur France Culture le dimanche 8 mai à 21 h

 

*les*yeux* noirs*
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