un jeune homme vient frapper à la porte de son amour la nuit
elle ne veux pas lui ouvrir par peur de son frère, son père , sa mère....
il insiste et fini par partir pour ne plus revenir
ça c'est la version soft
derrière se cache la version sortie du ghettho
"venue du ghetto de Łódź, une chanson dont les premières strophes sont une comptine d'amour, rêveuse, mais dont les trois dernières offrent une vue dramatique sur la vie dans le ghetto assiégé, affamé et désespéré."
A 45 ans, Erwan découvre que le vieux loup de mer qui l’a élevé n’est pas son père. Après enquête, il retrouve son géniteur, un subtil octogénaire, et tombe sous son charme, ainsi que sous celui de l’impétueuse Anna, croisée en route, dont il ignore qu’elle est sa demi-sœur…
Les fictions de France Culture vous invitent à découvrir une histoire de Simenon. Comédiens et musiciens se réunissent sur scène pour offrir au public un véritable spectacle radiophonique !
La guerre en 1940. Celle des civils. Leur exode vu d’un quai de gare. Les trains, les troupes, les réfugiés sont les acteurs de cette catastrophe de masse. Tout un peuple pris de vagabondage dans la panique de l’avancée allemande. Et parmi eux, dans la promiscuité d'un wagon bondé, un Français banal et une mystérieuse étrangère font connaissance et s’étourdissent dans une liaison sans lendemain. Ces moments-là, Georges Simenon les a vécus aux premières loges. Pour une fois, il fut un acteur de l’Histoire en marche avant d’en faire une histoire, lorsqu’il fut chargé de diriger avec les moyens du bord le centre d’accueil aux réfugiés belges à la gare de La Rochelle. La débâcle provoqua, de son propre aveu, une sorte de soulagement en lui. Comme s’il se trouvait débarrassé d’une vie qui lui pesait, qui n’avait plus de goût. La dure réalité des événements lui faisaient prendre conscience de ses propres réalités. Comme le personnage de son roman Le Train, Marcel Féron, marchand d’appareils de radio à Fumay, et comme beaucoup de Français, il percevait le monde extérieur avec d’autant plus d’acuité que les instants étaient tragiques à titre personnel. La catastrophe de masse qui s’abattait sur la France jetait une lumière crue sur son drame intime lorsque son regard croisa celui de la jeune juive tchèque Anna Kupfer. Un processus significatif de la fameuse « atmosphère Simenon » Le Train est paru en 1961, quelques mois après avoir été écrit, soit plus de vingt ans après les événements. Le récit de « sa » débâcle, qu’il avait provisoirement intitulé « La Gare », l’avait longtemps hanté avant de le rattraper : « une matière terrible et magnifique qui me fait un peu peur… un jour ou l’autre, je céderais à une sorte de besoin » confiait-il dès l’été 1940 à son éditeur Gaston Gallimard. En général, Simenon n’avait besoin que de deux ou trois ans de décantation avant de se laisser rattraper par une émotion, un souvenir, un détail susceptibles de lancer un nouveau roman. A ce titre aussi, Le Train est une exception dans son œuvre abondante qui ne contient que deux romans dont la seconde guerre mondiale est la toile de fond, l’autre étant Le Clan des Ostendais. Mais si Le Train nous emporte plus loin et plus durablement, c’est que la guerre y est vécue comme une affaire personnelle entre l’homme et son destin.
Le Train, de Georges Simenon est publié aux éditions Omnibus et au Livre de Poche.
Adaptation : Pierre Assouline Réalisation : Blandine Masson Musique originale : Eric Slabiak
Avec les comédiens : Bruno Raffaelli, Françoise Gillard, Guillaume Gallienne, Adeline d’Hermy, Pierre Hancisse, Rebecca Marder.
Les élèves-comédiens de la Comédie-Française : Pénélope Avril, Vanessa Bile-Audouard et les voix de Laurent Natrella de la Comédie-Française et Jeannette Veyssière. Et les musiciens : Caroline Sageman piano Claire Luquiens flûte Amanda Favier violon Eric Slabiak violon Marie Kuchinski alto Sébastien Giniaux violoncelle Nathanaël Malnoury contrebasse
Chansons tziganes, yiddish et arméniennes. Le savez-vous ? La France, depuis les années 80, s'honore de qualifier officiellement de langues de France, parmi plus de 400 autres langues accompagnant le Français : le rromani, langue des Tziganes, le yiddish, langue des Juifs de l'Est, l’arménien occidental.
Norig : chant Macha Gharibian : chant et piano Eric Slabiak : chant et violon Sébastien Giniaux : guitare, violoncelle, arrangements Frank Anastasio : guitare Olivier Lorang : contrebasse Meivelyan Jacquot : batterie et percussion
Je ne suis pas intéressée par la politique ni par les femmes et hommes politiques . Mais voilà une manière de la voir qui me plaît bien ; les coulisses , le ballet des parapluies, des drapeaux, du « personnel » des lieux, et surtout des regards et des silences qui en disent plus long que de grandes phrases bien préparées . Capter l'inattendu, l'improbable , l'insaisissable voilà ce que monsieur Jeuland sait faire à merveille .Et puis je n'aurai jamais l'occasion d'entrer à l'élysée même par la petite porte alors merci aussi pour la visite
Un regret pas assez de musique mais , comme pour les gens du monde , peut-être dans les bonus du DVD ????,
c'était plus que tentant ; j'aurais bien aimé le festival en entier mais bon j'ai déjà eu beaucoup de chance de trouver une semaine de logement intramurros je ne vais pas me plaindre ; les dieux sont avec moi . Donc ça ne sera pas la cure complète mais une minicure intensive
Et je ne risque pas de ne pas avoir de placeS : j'ai la réservation n° 1
Le spectacle
Vingt ans, le bel âge ! Il y a vingt ans que nous avons lancé la caravane des Yeux Noirs sur les routes du monde et que nous partageons avec tant de publics ces musiques venues de l’Est et des Balkans. Du Symphony Hall de Chicago au Bornéo World Music Festival en pleine forêt primaire, du Festival de Buenos Aires au Théâtre Toata de Tahiti, des endroits les plus insolites aux scènes les plus prestigieuses, nous avons rencontré les publics des cinq continents. Le temps d'un concert, les cœurs s'ouvrent, les différences et les préjugés sont suspendus ; quelle plus belle récompense ?
Spectacle Musique du Monde La compagnie
Scène et Public est une société qui produit et diffuse des spectacles de théâtre et de musique dont l’exigence artistique, l’engagement intellectuel, l’humour ou le travail esthétique correspondent au mieux à notre intime conviction que la culture est un élément fondamental, pour ne pas dire fondateur, de tout humanisme. L'équipe
Auteurs : Eric et Olivier Slabiak Musiciens : Eric Slabiak (violon et chant) Olivier Slabiak (violon et chant) Frank Anastasio (guitare et chant) Dario Ivkovic (accordéon) Aidje Tafial (batterie) Ouriel Ellert (basse)
Arrangements : Eric et Olivier Slabiak Producteur : SCENE ET PUBLIC Spectacle avec le soutien de CNV - SPEDIDAM
Il faut croire en ses rêves et en ce moment j'y crois :
Je rêve qu'ils nous en montrent un peu plus .
Même si j'ai eu le bonheur de voir le spectacle en entier (et plusieurs fois ) ce serait un merveilleux souvenir à voir et revoir
J'ai bien fait de réserver , ils ont fait complet presque tous les jours . Et malgré la fatigue accumulée au fil des jours , ils ont donné le maximum à chaque concert .Ils ont encore conquis des centaines milliers de spectateurs et la presse .
LE BRUITDUOFF.COM – 18 juillet 2015
"Les spectateurs sont tous comme eux, dans une véritable « transe » que l’on comprenne ou non le Yiddish ou le Russe, les mélodies nous envahissent, incessantes, les mains battent le tempo, nous ne pouvons très longtemps rester « immobiles », progressivement l’appel de la danse est si intense que la salle ne peut se contenir. C’est une véritable fête.
L’extraordinaire se produit. Nous sommes tous en communion. Unis, d’un seul et même Cœur. Les violons s’enivrent, s’envolent, prouvant à tous combien la musique du voyage, de l’âme, nous rassemble et nous permet ne serait-ce qu’un court instant cette balade vers le Bonheur. Plus rien n’a d’importance, la performance, l’émotion sont si intense, qu’il suffit de se laisser transporter.
Ce qui nous attriste sans le moindre doute ? Que cette parenthèse enchantée prenne fin. On la voudrait alors, éternelle…"
"Ouriel Ellert, bassiste compositeur depuis maintenant plus de dix ans à grandi proche de la nature en écoutant du Jazz et des musiques du monde entier.
Parallèlement à sa première profession de charpentier, il étudie dans diverses écoles et conservatoires de jazz, musiques actuelles et musiques afro-cubaines. Il devient très tôt musicien professionnel et vient s’installer à Paris en 2009.
Il a eu la chance de collaborer avec divers artistes nationaux et internationaux:
Il monte en 2013 son propre trio Nowhere, pour lequel il écrit une musique moderne et électrique en puisant dans ces multiples influences.
Vous pouvez aujourd’hui l’entendre sur scène ou sur enregistrements dans des styles musicaux très variés allant du jazz à l’électro en passant par la musique africaine, la musique cubaine, la pop, la soul, etc.
Une chose est sûre, il n’oublie jamais la nature, sa nature."
D’Alix Landau-Brijatoff et Emmanuel Robert-Espalieu Musique originale d’Éric Slabiak
Avec Judith Magre, Valentine Varela et Joseph Olivennes
Éric Slabiak, violon et chant Dario Ivkovic, accordéon Frank Anastasio, guitare Jérôme Arrighi Aidje Tafial, batterie
L’essentiel de la population juive de Lettonie – 60 000 personnes – a été exterminée par l’Einsatzgruppe A et ses supplétifs lettons nazis entre le 1er juillet 1941 et les deuxAktionen des 30 novembre et 8 décembre 1941. Alix Landau-Brijatoff, née en France, est la descendante de familles juives polonaises et lettones dont nombre des membres ont disparu durant cette période. Juste le temps de faire des petits bagages, interprétée, entre autres, par Judith Magre etValentine Varela, restitue l’histoire d’amour entre une mère et sa fille, l’histoire d’une grand-mère et de sa fille – la mère de l’auteur – communiste et juive, entre Riga et Paris, entre rires et larmes, entre comédie et tragédie.
Avec 5 musiciens , la musique aura sûrement une belle place .
Sans doute des "Yiddish mélodies ",
j'adore même si je suis goy .
mardi 16 juin
"entre rires et larmes, entre comédie et tragédie."
c'est tout à fait ça :
tout est dit ; mais ce n'est jamais "larmoyant"
nous avons même eu droit à des blagues , juives bien sûr , mais dites par des juifs c'est accepté
quant à la musique , elle était très présente pour mon plus grand bonheur ; parfois triste sans être dramatique .
J'ai enfin pu entendre en live des musiques d'Eric que j'adore (je parle des musiques (#^.^#) ) sorties des documentaires "comme un juif en France " ou "la paix nom de Dieu " ou ???? à vérifier ici puisque tout y est
Il a fallu se retenir de taper dans les mains ou applaudir à la fin d'un morceau ; ce n'était pas de circonstance , ça aurait coupé le rythme du spectacle .
Donc je suis ravie de ma soirée et j'ai bien fait de réserver très très tôt , même si c'était risquer ; comme pour Seissans c'est peut-être ce qui m'a "boosté " . Le meilleur fortifiant c'est la motivation . Quand on veut on ne peut pas toujours ( ceux qui vous disent le contraire n'ont pas touché le fond ) mais une motivation forte peut aider à aller chercher les quelques forces qui vous restaient , bien cachées , et que vous ne croyiez plus avoir . En tous cas pour moi ça marche