6/ Hora lui buica

instrumental  roumain

joué ici par le Trio Dinicu 

Violon  Luanne Homzy Guitare: Tommy Davy Contrebasse : Frank Anastasio 

7/Sheyn vi di levone / Belle comme la lune

paroles : Chaim Tauber

musique  : Joseph RumshinskR

version 'Les Yeux Noirs "https://vimeo.com/236547214

Les Yeux Noirs-Sheyn vi di levone from Mareterraniu Productions on Vimeo.

8/ Zvecansko kolo 

instrumental tzigane serbe

internet me traduit ça par "vélo de soirée " ????? bizarre kolo étant une danse c'est peut-être danse du soir;vous qui passez par ici et savez dites-moi 

en tout cas un morceau très enjoué, très festif , plein d'énergie 

9/ Gene roma/ tant de tziganespolonais 

chanson traditionnelle tzigane ( pour la traduction toutes les paroles sont sur le livret du CD en Rom et en français donc ...)

j'ai entendu de nombreuses versions dont celle "des Yeux Noirs " dans leur disque "Balamouk " en 2000 chantée aussi par Frank  Celle-ci est très différente , surprenante , très intime, un pur moment de douceur, tendresse , réconfort j'adooooore 

10/ Brontshele 

paroles et musique traditionnel de pologne 

un amoureux voudrait rentrer mais la fille n'ose pas lui ouvrir la porte car elle a peur de sa mère, de son père, de sa soeur .....

11/ Vi zaynen mayne zibn gite yur / où sont mes 7 bonnes années 

paroles et musique de david Meyerowitz

12/ Josef tanz

instrumental composé par Eric Slabiak 

si vous aimez allez faire un tour sur son site   https://www.ericslabiak.com/

il y a toutes ses musiques : films, documentaires, théâtre , contes pour enfants .... un vrai régal 

Et pour terminer la  superbe préface  de Valérie Zénatti ( je sais pas très logique de mettre la préface à la fin  mais je fais ce que je veux  )   

«Les premières notes de violon s’élèvent, bientôt rejointes par celles de l’accordéon, la batterie, la guitare et la basse, et le monde s’élargit soudain, le ciel semble plus haut et en même temps à portée de main. Ils sont là, les magiciens de Josef Josef, ils parcourent le vieux continent, vont chercher son cœur battant à l’Est et c’est un monde entier qui virevolte sous leurs doigts, dans leurs voix. Et ces chants nous empoignent, entre la perte et le désir de conquête, dans leur interprétation à la fois fidèle à leur âme et audacieuse dans les arrangements : ici le jazz fait une incursion chez les tsiganes, ici la musique reprend ses droits et sa grâce dans le langage le plus pur, qui console, régénère et donne follement envie de s’abandonner à la joie de vivre, à l’amitié, à l’amour, de fermer les yeux et de danser.» 

Valérie Zenatti  

Elle a traduit de nombreux livres de Aharon Appelfeld (auteur du texte de la chanson 2 du CD "unter dayne vayse shtern) Elle écrit aussi ses propres livres dont des livres pour enfants

https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-culture/valerie-zenatti

interview réalisée par l'Akadem

je ne sais pas la récupérer mais vous la trouverez ici 

https://www.facebook.com/151446978204/videos/1308893445957274/UzpfSTExNzYyNDgyNjMwODg1OToxNTIxMDY5OTYxOTM5NzU/

 ou là sur le page du groupe Josef- Josef

https://www.facebook.com/frankanastasioguitar/

un témoignage intime,  émouvant 

et un moment (même 2 ) de surprise en retrouvant mes humbles "bidouilles "  mais une pointe de fierté quand même   comment se sont-elles retrouvées là ? mystère

de Serge Kribus                                                                                                                                                                mise en scène Zabou Breitman                                                                                                                         composition musicale Eric Slabiak                                                                              lumières Stéphanie Daniel                                                                                                                                          scénographie Salma Bordes                                                                                                                                 costumes Zabou Breitman & Bertrand Sachy                                                                                                     assistanat mise en scène Laura Monfort avec Sarah Brannens & Charly Fournier

Durée: environ 1h Spectacle tout public à partir de 6 ans

"C’est l’histoire d’une fille qui rencontre un chien. Cette jeune fille, c’est Lola. C’est l’histoire d’un chien qui chante et qui parle chien, chat, français. Ce chien, c’est Thélonius.

Une création poétique et musicale qui s’adresse à tous les publics. Les personnages, un chien des rues sans collier et une petite fille, dialoguent dans un univers graphique propice à l’imagination..."

https://www.facebook.com/events/2332561663737495/?event_time_id=2332561673737494

La Maison de la Culture, Amiens du 14 au 18 octobre 2019                                                                                                                               + représentation en langue des signes le 16 octobre

Théâtre de la Renaissance, Oullins Du 14 au 16 novembre 2019

L’Onde, Vélizy-Villacoublay  Les 11 et 12 décembre 2019

La Criée, Théâtre National de Marseille Du 9 au 11 janvier 2020

Théâtre du Chevalet, Noyon Les 16 et 17 janvier 2020

MC93, Bobigny Du 22 au 25 janvier 2020

Anthéa, Théâtre d’Antibes Du 28 janvier au 1er février

Théâtre Jean Villar, Saint-Quentin Le 6 février 2020

Comédie de Saint-Étienne Du 17 au 19 mars 2020

Théâtre Charles Dullin, Grand-Quevilly Les 29 et 30 mars 2020

Théâtre Paris – Villette, Paris  Du 2 au 19 avril 2020

Kessel, un lion

AUTEUR(S)-RÉALISATEUR(S)     Marie Brunet-Debaines

IMAGE      Laurent Châlet

SON     David Lasalle

MONTAGE   Coline Beuvelet

MUSIQUE ORIGINALE    Eric Slabiak

"Grand reporter, écrivain, résistant, aventurier... Voyageur dès l'enfance, de l'Argentine aux steppes russes, avant que sa famille ne s'établisse à Paris, Joseph Kessel connaît précocement la gloire et la richesse. Avant même ses 25 ans, il a survécu à la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle il fut brancardier puis observateur à bord des zincs de l'aviation balbutiante, et bouclé son premier tour du monde. L'Équipage, son premier roman, est édité par Gaston Gallimard en 1923. Le touche-à-tout charmeur et plein de panache flirte avec la nuit de longues années durant, pour les personnages hauts en couleur qu'il y croise, matière à ses romans futurs, mais aussi pour boire sa peine, suite à la mort de son jeune frère. Grand reporter, il couvre la montée du nazisme et s'engage dans la Résistance, qui lui inspire le célèbre Chant des partisans, coécrit avec Maurice Druon, et son roman L'Armée des ombres, avant de suivre tous les grands procès d'après-guerre, dont celui de Nuremberg. À 60 ans, il écrira l'un des plus grands best-sellers du XXe siècle, Le Lion.
Qu'est-ce qui lie l'écrivain, disparu en 1979, au noceur, au baroudeur, à l'amoureux, sinon la passion dévorante et l'intérêt suprême qu'il éprouvait pour le genre humain ? Entre superbes séquences d'animation en noir et blanc, émouvantes archives – où la voix fine et précise de Kessel contraste avec son profil intimidant de rhinocéros – et passages lus de ses œuvres, une exploration fascinante des mille et une vies d'un homme éternellement émerveillé par ses semblables, auxquels ses livres n'ont cessé de rendre hommage.

http://servicepresse.arte.tv/soiree-consacree-a-joseph-kessel-sur-arte/

en replay jusqu'au 29 novembre 2019

Et non ils n'ont pas fait leur version du morceau "Josef-Josef" ; Ils ne jouaient pas non plus " Les Yeux Noirs "  en concert

Mais quel bonheur de les retrouver : toujours ce merveilleux mélange de chansons douces , tendres, nostalgiques, pleines d'émotions et de morceaux pleins d'énergie de folie de passion qui nous emmènent au-dessus des nuages

Ils ont gardé des morceaux que j'adore : Dobri dien , Sila kale bal, Belle comme la lune …., repris des morceaux plus anciens O'djila , la Grine Kusine …. et de nouveaux morceaux dont je ne sais le titre quelques regrets ils n'ont pas chanté Kinderjohren et enleve Tchaye qui terminait si bien les concerts Tout le public chantant à l'unisson (ou pas )c'était un moment intense Mais je comprends qu'au bout de 25 ans ils aient envie de changement . Un conseil pour Josef ( je doute qu'il passe par ici mais bon....) trouvez un morceau pour faire participer le public de tous âges donc facile à reprendre Donna c'est beau j'adore mais pas assez joyeux , festif

Je vais attendre la sortie du disque avec impatience et bien sûr les prochains concerts

Je ne sais si Josef a les yeux noirs mais je l'adore donc j'espère le revoir très vite ( pendant que je le peux encore)

Les Yeux Noirs " deviennent "Josef-Josef"

même répertoire  yiddish- tzigane- balkanique- slave  - pop-rock. mèlées avec énergie et passion 

Ils ne sont plus 6 mais 5 ;

Eric Slabiak violon/chant
Frank Anastasio guitare/chant
Dario Ivkovic accordéon
Jérôme Arrighi basse
Rémi Sanna batterie
& Arno Mesguich au son

Olivier Slabiak (violon et chant) est parti vers d'autres horizons ; Il s'est envolé avec son bel oiseau bleu ; Avec sa femme Laure ils forment  le " Blaubird" 

Josef-Josef c'est une vieille chanson  Yiddish

Elle a traversé l'Atlantique pour devenir plus jazzy

le jazz -manouche l'a souvent reprise 

j'ai même retrouvé une version de Nino Ferrer 

J'attends avec impatience la version "Yeux Noirs " oups "Josef-Josef" 

Ils seront à la fête de la musique le vendredi 21 juin 2019 sur le parvis du mémorial de la shoah 

17 rue Geoffroy l'Asnier Paris 

https://billetterie.memorialdelashoah.org/fr/evenement/fete-de-la-musique-2019

pour fêter la sortie de leur disque 

https://www.facebook.com/events/240857359936160/

le 16 oct au studio de l'hermitage 

et un superbe article ici

https://www.froggydelight.com/article-20990-BlauBird.html

"A toi l’affligé, toi dont les revers accablent l’existence, dont les tristes imprévus pavent le chemin, à toi l’accablé de chagrin, voit BlauBird faire scintiller les flots de ton âme éplorée, écoute sa voix murmurer la douceur de la mélancolie et transfigurer ta peine en myriades de souvenirs enchantés. La nostalgie habite chaque titre de l’album, inclinant l’auditeur vers le cristal des pensées errantes. Onirique.

Bouleversante complainte à ce qui n’est pas "et toi tu n’es pas là, parfois je crois je pleure j’aimerai que tu sois là, que tu sois tout à moi, que tu sois contre moi, j’aimerai être dans tes bras, mais toi tu n’es pas là, non toi tu n’es pas là, et je dois je dois faire sans toi" ("L’absence"), terrible ressenti que celui du rien qui fait mal...."

https://www.rencontres-arles.com/fr/agenda/view/1774/the-rencontres-live-magazine

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